Mes chers amis,
En rangeant mes petits papier,
Comme le font parfois les retraités,
Je suis tombé sur une poésie
Qu'il y a plus de 10 ans j'écrivis.
Je suis touché d'avoir écrit cela.
Je vous le livre, sans plus de blabla.
J'aime tant quand tu me souris
De cette belle joie qui t'embellit.
C'est tout ton visage qui irradie
De cette lumière qui te remplit.
Je n'aime pas cette profonde tristesse Qui au petit matin crie ma détresse.
Comme il n'y a pas de solution,
Il ne reste plus que la pendaison.
J'aime ce petit frétillement
Qui juste maintenant me prend.
Mon œil est grand ouvert,
Il y a place pour toute la terre.
J'aime avec toi partager
Cette profondeur que l'on explore,
Découvrir tous ces petits sentiers
Qui te composent, mon cher trésor.
Je n'aime pas cette solitude,
Ces moments où je me rétrécis.
Je me sens alors si petit,
C'est une sorte d'hébétitude.
Alors il n'y a qu'une solution,
Voir dans le miroir cet homme si mignon.
Revenir juste à ce regard
Et ne pas rester dans mon placard.
Belle journée à vous tous.
Philippe
Ces quelque lignes surgissant d'un passé pas si lointain, nous montrent les facettes de ton esprit s'observant. Les faces à la lumière et celles à l'ombre.
Ce partage nous montre que tu n'es pas différent de chacun de nous ;-) , avec nos joies et nos peurs, nos ravissement et nos angoisses ....
Merci
C'était il y a longtemps, l'espace d'un instant qui s'est étiré, expansé et de tout son Amour t'a enveloppé pour à toi-même te révéler. Quelle beauté !